#pour les bordelais
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#c'est mon cousin#ils l'ont tjrs pas retrouvé alors je poste ici au cas où#pour les bordelais#bordeaux
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Une petite pause thé... avec un petit canelé bordelais...
Canelés bordelais
Ingrédients
• 50 cl de lait
• 2 jaunes d’oeuf
• 2 oeufs
• 40 g de beurre
• 1 gousse de vanille (ou 2 cc d’extrait de vanille liquide)
• 1/4 cc de cannelle en poudre
• 100 g de farine T45
• 100 g de sucre en poudre
• 35 g de sucre cassonade
• 1 cs de rhum
1- Versez le lait, le rhum, les graines de la gousse de vanille (ainsi que la gousse), la cannelle et le beurre ensemble dans une casserole.
2- Portez à frémissement.
3- Pendant ce temps, versez les sucres, les jaunes et les oeufs dans un saladier. Fouettez-les jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
4- Versez la farine et mélangez au fouet.
5- Versez petit à petit le lait (débarrassé de la gousse) tout en fouettant pour éviter les grumeaux. Vous allez obtenir une pâte se rapprochant de la pâte à crêpe.
6- Filmez le saladier et réservez 24 heures au réfrigérateur.
7- Le lendemain, beurrez l’intérieur des cavités du moule à cannelés et versez la pâte en vous arrêtant à 5 mm du bord.
8- Faites préchauffer votre four à 250°C et enfournez pour 10 minutes.
9- Baissez le four à 180°C et poursuivez la cuisson pendant 1 h. Les cannelés doivent être dorés.
10- Laissez un peu tiédir avant de démouler et laissez complètement refroidir sur une grille.
11- Poursuivez avec le reste de pâte. Il n’est pas nécessaire de re-beurrer le moule.
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Peut être est-ce à cause de la météo tristounette de cette après-midi mais j’ai une envie de douceurs sucrées et ces petits cannelés bordelais étaient parfait à l’heure du thé...
Hummm... L’extérieur est croustillant et l’intérieur moelleux et aérien.
Ingrédients
• 50 cl de lait
• 2 jaunes d’oeuf
• 2 oeufs
• 40 g de beurre
• 1 gousse de vanille (ou 2 cc d’extrait de vanille liquide)
• 1/4 cc de cannelle en poudre
• 100 g de farine T45
• 100 g de sucre en poudre
• 35 g de sucre cassonade
• 1 cs de rhum
1- Versez le lait, le rhum, les graines de la gousse de vanille (ainsi que la gousse), la cannelle et le beurre ensemble dans une casserole.
2- Portez à frémissement.
3- Pendant ce temps, versez les sucres, les jaunes et les oeufs dans un saladier. Fouettez-les jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
4- Versez la farine et mélangez au fouet.
5- Versez petit à petit le lait (débarrassé de la gousse) tout en fouettant pour éviter les grumeaux. Vous allez obtenir une pâte se rapprochant de la pâte à crêpe.
6- Filmez le saladier et réservez 24 heures au réfrigérateur.
7- Le lendemain, beurrez l’intérieur des cavités du moule à cannelés et versez la pâte en vous arrêtant à 5 mm du bord.
8- Faites préchauffer votre four à 250°C et enfournez pour 10 minutes.
9- Baissez le four à 180°C et poursuivez la cuisson pendant 1 h. Les cannelés doivent être dorés.
10- Laissez un peu tiédir avant de démouler et laissez complètement refroidir sur une grille.
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Note
(recommandations inspirées par un wikipédia deep dive où j'ai fait Macron -> Rothschild -> Vin bordelais et aussi par le fait que ce blog poste pas mal de BD)
Je précise aussi que Les Maîtres de l'Orge et Château Bordeaux sont aussi dans la partie plus adulte du catalogue. Rien de vraiment traumatisant, juste un peu de sexe, mais à garder en tête.
j'adore l'association d'idée😅😅😅
merci pour la précision !
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🍷🇺🇸 And 🇫🇷
Description of the pinned domain in the comments
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🇬🇧Hello corkscrew lovers. And you, have you ever tasted a wine from this appellation?
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🍷AOP Côtes de Bourg rouge 2020 cuvée Émeraude du Château Lagrange
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🍇Malbec, Cabernet Francs, Cabernet Sauvignon, Merlot
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👁️A deep garnet color
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👃A nose with notes of red and black fruits, spices
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💋A wine that exudes personality, which unfolds magnificently in the mouth, which achieves a perfect balance. Notes of blackberry, blackcurrant, plum, freshly ground pepper and liquorice emerge. A sensation in the mouth that persists with a delicate finish of lightly toasted hazelnuts. A remarkable complexity.
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🧆Tasted on duck breast
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🇫🇷Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, avez-vous déjà dégusté un vin de cette appellation ?
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🍷AOP Côtes de Bourg rouge 2020 cuvée Émeraude du Château Lagrange
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🍇Malbec, Cabernet Francs, Cabernet Sauvignon, Merlot
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👁️Une robe de couleur grenat soutenu
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👃Un nez sur des notes de fruits rouges et noires, épices
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💋Un vin qui respire la personnalité, qui se déploie magnifiquement en bouche, qui atteint un équilibre parfait. Des notes de mûre, de cassis, de prune, de poivre fraîchement moulu et de réglisse se dégagent. Une sensation en bouche qui persiste avec une finale délicate de noisettes légèrement grillées. Une complexité remarquable.
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🧆Dégusté sur un magret de canard
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🥘Quelques accords mets et vin🥘 :Carpaccio de bœuf, Charcuteries, Hamburger, Joues de porc,...
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🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞.
Dégustation non rémunéré
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#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇬🇧Domain Description 🇬🇧
Located in the commune of Bourg, in the heart of the Côtes de Bourg region, whose wine-growing vocation dates back to Antiquity, our 9-hectare vineyard benefits from the specific microclimate generated by the Gironde estuary, giving the appellation's hillsides a significant advantage over other Bordeaux vintages: greater solar radiation, less extreme temperatures, and less rainfall. Planted on the slopes, near the banks of the Dordogne, our vines also enjoy ideal exposure for the ripening of the grapes, while the clay-limestone soil provides freshness and drainage. It includes the traditional Bordeaux grape varieties: Merlot (43%), Malbec (27%), Cabernet Sauvignon (24%) and Cabernet Franc (6%). The blend of these grape varieties produces a fruity, delicious and balanced wine.
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🇫🇷Description du Domaine 🇫🇷
Situé sur la commune de Bourg, au cœur de la région des côtes de Bourg, dont la vocation viticole remonte à l’Antiquité, notre vignoble de 9 hectares bénéficie du microclimat spécifique généré par l’estuaire de la Gironde, conférant aux coteaux de l’appellation un avantage non négligeable sur les autres crus bordelais : un rayonnement solaire supérieur, des températures moins extrêmes, une pluviosité moins importante. Plantées en côte, près des rives de la Dordogne, nos vignes jouissent par ailleurs d’une exposition idéale pour la maturation des raisins, tandis que le sol argilo-calcaire apporte fraîcheur et drainage. On y retrouve les cépages traditionnels bordelais : le merlot (43 %), le malbec (27 %), le cabernet sauvignon (24 %) et le cabernet franc (6 %). L’assemblage de ces cépages permet d’obtenir un vin fruité, gourmand et équilibré.
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saga: Soumission & Domination 304
Fin juin 2014-1
Avec les beaux jours, je suis de nouveau à 100% de ma forme. J'ai travaillé les jambes et les fessiers en plus de la natation et ça fini par payer !
Le plus important est bien sûr que j'ai retrouvé la totalité de mes capacités sexuelles tant en passif qu'en actif.
J'en profite bien et depuis mon escapade sur Arcachon, je rattrape le temps perdu. Pas un jour sans que je me vide les couilles au moins 2 fois et c'est souvent 3 !
Les WE quand Marc est en déplacement, le blockhaus se rempli de jeunes mecs et ça baise à tous les étages.
Depuis mon accident, comme les barrières que j'avais mis en place entre Boulot et Perso sont tombées, il arrive fréquemment que mes escorts passent à un moment ou un autre quand ce n'est pas le WE entier s'ils n'ont pas de contrat.
Je suspecte même certain de mettre les " bouchées doubles " en semaine pour se dégager certain WE et pouvoir ainsi les passer avec nous (PH, moi, Ernesto quand il remonte de Barcelone et tous les amis de passage qu'ils soient de Paris ou d'ici).
Quand nos gendarmes peuvent venir, c'est WE " no vacancies ". Toutes les chambres sont occupées et les lits pleins (quand nous trouvons la force de les rejoindre !). Leurs gabarits (et pas que celui de leurs bites), attirent mes amis.
Lorsque nous avons réussi à faire monter les deux lads avec Jules avant que la saison ne démarre, ça été la folie.
Thème du WE : Gros calibre et petits culs.
Comme gros calibres, en plus des deux Lads (24x7 et 23 x 6,5), mes deux gendarmes (21 et 22 x 7 et 6) avaient réussi à se libérer. Ernesto nous a rejoints de Barcelone et son frère a pu passer plusieurs fois dans le WE (Emma ne pouvant me le laisser à 100%). Leurs 24x6 avaient toute leur place. J'ai intercédé auprès de Laure pour qu'elle nous libère son mari Xavier (26 x 6,5), ce qu'elle a gentiment accepté moyennant que je passe une soirée chez eux !! Eric et ses 26x7 bien noirs indispensables à ce type de plan, est venu grossir le nombre d' " Actif TTBM ", il a rejoint après ses cours de pilotage en fin d'après midi du samedi. J'ai même pu avoir Jean Black, un des " petits " mecs (de 2,05m quand même) attrapé il y a déjà quelques années par l'intermédiaire de la mère de Jean (cf. historique). Ses exceptionnels 30cm ont trouvé quelques amateurs ! Et, sans être exceptionnel mais quand même honorables et très efficaces, Marc (22x 6) et Hervé (21x5,5) que je ne voyais pas mettre de coté lors d'un tel WE.
Pour les petits culs, j'ai fait le tour des amateurs de gros calibres et ça a été deux jours complet non stop pour eux.
On était plus de 30 amateurs de beaux engins. Que les " jeunes " de mon carnet d'adresse, des derniers venus comme mes escorts médecins et Stéphane, mon chauffard, tous mes autres escorts (dispensés de taf ce WE là) et les petits nouveaux, Max, Guillaume et Anthony, les nageurs ; Kamal le danseur beur, Louis et Franck le nouveau couple, Tic, Tac et le petit Théo mais aussi Second et Julien sans oublier nos motards, Cédric, Daniel, Phil et Luc. Ric à qui j'avais raconté notre descente dans le bordelais a tenu à être des nôtres tout comme Arnaud notre voisin venu de notre campagne avec Jimmy et Maxou aussi.
Tous étaient arrivés avant que Jules accompagné des Lads ne sonnent à l'interphone. Déjà les vêtements étaient en tas près de la porte du monte-charge et même quelques sous vêtement couronnaient l'empilement. Du séjour, nous avions vue sur les jambes et les paquets des nageurs de la terrasse et si ça se tripotait déjà pas mal, personne n'avait encore lancé le " débat ".
A travers Jules, qui venait pour la première fois sans nos gendarmes (déjà sur place), je transmettais au chauffeur les dernières indications afin qu'ils nous rejoignent.
Je descends les accueillir au garage. Ils sont étonnés du nombre de motos et des voitures qui s'étalent sous leurs yeux. Je leur dis que tout le monde est déjà arrivé. Comme je vois que cela stress les deux lads, je les rassure. Jules casse tout en ajoutant que leurs bites de cheval allaient plus voir le jour du WE. Tous mes efforts pour les détendre cassés !! Merci Jules.
Ils trouvent le monte charge sympa et quand nous déboulons au 4ème, PH est devant la porte. Quand il s'efface pour nous laisser passer, ce sont plus de 15 curieux qui mangent des yeux nos deux amis.
Après quelques instants de stupeurs, ils éclatent de rire et commencent à se dépoiler. Ils apparaissent en slip Aussiebum qui baillent sur le pubis, entrainés par leurs services 3 pièces hors normes. Le conseil que je leur avais donné de se faire dédommager par leurs clientes du club du temps passé à les limer a été suivi d'effets ! Je suis content pour eux.
Evidemment ça dégénère ! Je crois que c'est mon petit Max qui s'est jeté le premier à leurs pieds et à embouché dans le mouvement la bite de 24 x 7, dénudée dans la chute, direct au fond de sa gorge. Je le chope par le cou, le relève et excuse nos invités pour ce comportement avide. Max gémi et tout le monde éclate de rire.
Je le relâche et il retombe à genoux la gorge écartelée par le gland de Lad 1. Faut dire que l'appendice, chapeautant un sexe de 24cm x 7, a de quoi étouffer plus d'un mec même très salope !
C'est parti pour un WE de licence et de débauche. Nos deux invités ne feront le tour de la " maison " qu'accompagnés d'une nuée de fan et c'est tout juste, s'ils pourront se retrouver dans les étages à la fin du WE ! J'ai juste eu le temps de les informer sur les quelques règles et pratiques de la maison avant qu'ils ne disparaissent sous les corps imberbes de mes amis
De mon coté je me perds entre les bites de Xavier et d'Eric quand ce n'est pas à enculer les trous vides qui passent devant mes yeux (enfin plutôt ma bite). Alors que Xavier m'encule profondément, et croyez moi, 26cm c'est du vrai " profond ", je lui parle du futur plan avec sa femme. J'ai accepté le plan cul mais je lui propose d'ajouter Max. cela ouvrira à ce dernier le champ des possibles. Je sais qu'en plus, ce petit vicieux sera partant et qu'avec lui et Laure, il testera quelques positions nouvelles. Xavier est Ok et me dit qu'il profitera de ce WE pour tester mon Max. Nous nous séparons avant d'avoir jouit afin de pouvoir profiter d'autres participants.
Je traine un peu et mate quelques " assemblages ". J'ai bien aimé voir Guillaume en levrette, le cul éclaté par Lad 2 avec à ses cotés Anthony pour l'encourager (après tout c'est presque son mec) alors qu'il attendait de se faire saillir à son tour.
J'ai cherché des yeux Jean Black, afin de savoir qui bénéficiait de son sexe hors norme. Je l'ai trouvé sur la terrasse en train de ramoner (avec ses 30cm y' a pas d'autre terme possible) les entrailles du petit Théo. Tic, son mec attitré, était à ses coté pour le soutenir, le féliciter, lui rouler des pelles et branler ses 19cm. Je les ai laissés alors que Jean Black collait ses hanches aux fesses de Théo et que Tic léchait les quelques larmes de plaisir qui coulaient de ses yeux. Enfin, j'ai quand même attendu quelques va et vient pour m'assurer que l'emboitement n'avait pas abimé la " mortaise " !
Plus loin mes deux gendarmes s'en donnaient à coeur joie en parallèle dans les culs de Jona et François en 69. Ils kiffent mes deux escorts les plus sportifs et musclés. C'est même cette caractéristique qui les a attiré tous les deux. Je tais le fait qu'ils sont quasiment confrères. Je les quitte en caressant le dos de François. Ma main glisse le long de sa colonne vertébrale et j'enfonce un doigt le long de la bite de 22x6 qui perfore son anus. François l'a senti passer car il cesse de sucer son mec pour voir qui se permettait de lui élargir encore plus la rondelle. Je profite qu'il tourne la tête vers moi pour lui rouler un patin au goût de sexe. Je retire mon doigt et les laisse tous les 4. Quand je m'éloigne, je vois François reculer jusqu'à pouvoir rouler une pelle à son Jona.
Je descends au rez-de-chaussée voir qui squatte le jardin d'hiver et la piscine. Pas de baise dans l'eau. Je suis content que cette règle soit respectée. Mais par contre les rebords à 1 m du sol sont parfaits pour recevoir les torses des mecs qui se font enculer.
Ils sont 4, cote à cote, à se faire défoncer. Avant de voir à qui appartiennent les culs, je reconnais les enculeurs. Ce sont Pablo et Ernesto accompagné de Marc et Hervé. Les anus qu'ils défoncent appartiennent à Jimmy, Maxou, Kamal et Cédric. Ces deux derniers sont sur la pointe des pieds et les assauts de leurs enculeurs les font à chaque fois décoller du sol ! Et, si j'en juge par leurs gémissements, c'est loin de leur déplaire à ces deux petites salopes !
Marc me demande si ça va. Je l'assure que ça baise à tous les étage et que tout le monde est bien " couvert ".
Des petits cris qui essayent de se faire discrets proviennent de la partie " boisée " du jardin. Je me faufile parmi les troncs de palmiers et autres arbres tropicaux pour découvrir qui produit de pareilles preuves de plaisir. Je trouve Viktor et Nicolaï couchés l'un sur l'autre à se rouler des patins alors que Lad 1 (24x7) les encule alternativement. Ce qui m'avait troublé dans ma reconnaissance de voix c'était que le petit cri provenait à chaque fois d'un des deux et jamais le même. En plus je ne les avais jamais entendus produire de tel sons. Pan sur mon égo ! Lad 1 est plus efficace que moi dans leurs petits culs !!
Je les laisse et remonte sur la terrasse, j'ai envie de me faire mettre profond, accroché à la sculpture centrale. J'arrive à m'accaparer un des gendarmes. Comme je le traine vers le centre du jardin, il me remercie de les avoir invités. Je ris et lui dis que je ne pouvais difficilement envisager une touze " Gros zob et petits Culs " sans eux. Je dégage le couple qui baisait à l'endroit pile où je désirais faire la même chose et enlace mon motard. On commence par une pelle collés/serrés. Ses bras musclés m'attire vers lui et j'en fais de même. Nos pecs s'écrasent et comme nous sommes quasiment de la même taille, nos tétons durcissent à se frotter ensemble. Y'a pas qu'eux qui raidissent. Nos bites font de même. G22 laisse tomber ses mains sur mes fesses et tout en plaquant mon bassin contre le sien, je le sens les écarter. Un petit courant d'air rafraichi ma rondelle en feu. Rapidement un doigt se pose dessus et s'enfonce doucement. J'écrase encore plus ma bite entre nos abdos et me soulève sur la pointe des pieds. Sa queue glisse alors entre mes cuisses et quand je repose les pieds à plat, elle se colle à mon périnée, son gland allant rejoindre son doigt. Je n'en peux plus de toute cette ambiance de sexe. Je le kpote et rapidement reprend la position. Je le pousse contre la statue et entreprend de me faire enculer debout (pour lui). Je m'accroche à son cou et ceinture sa taille de mes jambes. En prenant appuis sur ses hanches et ses deltoïdes, je me soulève jusqu'à sentir son gland se poser sur mon trou. Là je relâche tout et me plante violemment sur sa bite. Elle était raide comme de l'acier et c'est sans difficulté qu'il m'a perforé l'oignon jusqu'à la garde. Bien " salope " j'ai même basculé le bassin en avant pour être sur que le dernier cm de sa longue queue était bien en moi. Ses mains sous mes fesses, G22 m'a aidé à limer ma rondelle. Alors que je le sentais fatiguer, le relais a été pris par Ric. En recherche d'un nouveau plan, il était tombé sur nous et nous donnais un coup de main en attendant un futur coup de queue. Soulager de mon poids direct, G22 a accéléré ses va et vient jusqu'à remplir la kpote alors que je jutais sur son torse. Vu les heures d'excitation passées, je lui en ai mis quelques litres sur les pecs et les abdos.
Repus sexuellement pour cette première partie de journée (démarrée à 10h j'avais juté à 13h) j'ai fait remarquer que nos estomacs eux étaient vides.
Descente d'un étage et direction la cuisine/salle à manger. En traversant le séjour/salon, nous avons croisé plus de mecs en train de manger que de baiser. Et pour cause, la table était couverte de victuailles. Samir avait tout prévu avec Julien (notre charcutier/traiteur et comparse sexuel). En variétés, de quoi satisfaire tous nos invités, même Kamal (le porc était bien séparé du boeuf, ce dernier étant Halal). Avec des tas de légumes et de fruits pour nous rafraichir ce buffet avait tout de revigorant.
Nous avons été rejoints par les deux nouveaux (Lad 1 et 2). Assiettes en mains ils ont admiré la déco. Surtout le tableau du " déjeuner sur l'herbe " version Moitié notre ami peintre et encore plus les versions enregistrées par nos autres amis qui sont projetées juste à coté. Surtout quand elles sont passées de l'image au mini-film plus hardcore !
On discute encore quelques instants. Plus des mecs présents à la touze que du décor. Ils me disent kiffer grave les petits culs et ont repéré celui de Théo et encore plus celui de Cédric rapport à la masse musculaire qu'il a développé (rappel il est maintenant bâti comme Ric en modèle réduit taille 1m70). D'ailleurs le physique de Ric les interpelle aussi. Quand je leur dis que demain en apothéose de leur venue, ils pourraient le prendre en double sodo, ils ne me croient pas.
Je les entraine à la recherche de Ric. Nous le trouvons assis sur la bite de Xavier, en train de se limer la rondelle. Ses cuisses sont gonflées par l'effort alors que de temps à autre, Xavier soulève son bassin dans un choc de chairs. Je me penche et roule un patin à Ric tout en lui pinçant un téton. Gémissement de ce dernier avant qu'il me demande ce que je lui veux. J'aborde le sujet des doubles sodo et lui demande s'il est partant demain pour se prendre les deux Lads en même temps. La réponse est bien sûr positive. Comme le spectacle à fait bander mes deux invités, je les laisse alors que de part et d'autre du couple emboité, ils se placent pour se faire sucer par Ric.
Plus tard dans la soirée, voir les 26cm noir ébène d'Eric se frayer un chemin entre les fesses blanches de Louis sous la surveillance de son Franck m'a poussé à lui enfoncer quelques instants ma queue dans sa gorge. Venant de moi, Franck n'a rien dit et cela lui a montré ce qui risquait quand même de se passer plusieurs fois encore pendant le WE !
Nos lads, sont venus en voiture et c'est jules qui a conduit au retour vu comme ils étaient fatigués. Le lundi j'ai même reçu un appel du moniteur d'équitation pour me demander ce que nous leur avions fait, vu la tête qu'ils avaient.
Jardinier
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Cher public, ouvrez grand vos mirettes, car ce soir c'est cours de géographie. Effectivement, à part vous décrire le paysage, pas grand chose d'autre à dire sur cette journée de bus. Donc c'est parti :
Comme vous le savez, le Chili est une longue bande de terre de 3400km, et large en moyenne de 180km. Et folles que nous sommes, nous avons l'attention de parcourir lesdits 3400km.
Lors de notre observation approfondie par la vitre du bus, nous avons pu constater que les 800 premiers kilomètres se composaient d'un désert, répondant au doux nom de désert d'Atacama. Ce désert, coincé entre la mer et la cordillère des Andes, est sensé être le plus aride du monde, et nous confirmons cette observation. En effet, le réflexe nous vient tout naturellement de marcher de manière arythmique pour éviter de conjurer certains ver de terre aggressifs. Ici, la ressource locale n'est pas l'épice, mais plutôt le salpêtre, puis de nos jours principalement le cuivre et le lithium.
Les flamands roses que nous avons vu hier profitent des salares, d'anciens lac plus ou moins asséché et riches en sel, pour y vivre leur vie. On aurait presque envie d'en prendre un dans notre sac pour lui montrer que la vie peut être plus verte ailleurs.
Vous pourrez noter sur cette photo que les déserts, c'est pratique pour dessiner à grande échelle.
Place aux 800 prochains kilomètres maintenant : c'est une zone semi-desertique, parsemée ça et là de vallées fertiles.
Enfin, arrive Santiago (merci de noter que ceci est une figure de style, notre bus arrive réellement Santiago dans une dizaine d'heures). Région paraît il, au climat méditerranéen, où vit 75% de la population, chiffre qui ne peut que m'inquiéter quant au climat qui règne en Patagonie et en Terre de feu. C'est dans cette région que l'on trouve également de nombreux vignobles Chilien.
Et puisque l'on parle de vin, connaissez vous le carmenère ?
Un gentil Chilien qui tenait absolument à partager sa bouteille nous a expliqué que c'était un cépage originaire du Bordelais. Après enquête, au XIXe siècle, un certain Silvestre Ochagavia a décidé d'importer des cépages du Bordelais et de la vallée de la Loire au Chili. Grand bien lui en as pris, puisqu'à la fin du XIXe, le phylloxera ravage les vignes françaises. Celles-ci sont remplacée par les vignes chiliennes importées précédemment, mais pas le Carmenère, qui disparut de la carte française.
(on a trouvé de bons pains au chocolat juste avant le départ !)
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22. J+11 : Sud-Est, nous voilà !
6 TDJ2023 bordelais rejoignent leur pote toulonnais à...Toulon pour y établir un nouveau camp de base d'une semaine. 6 supporters de l'Union Bordeaux Bègles (UBB), 1 seul du Rugby Club Toulonnais (RCT). Parmi nous, il y a en a qui supportent également le Stado Tarbes Pyrénées Rugby (TPR65), le Football Club de Grenoble Rugby (FCG), l'Union Sportive de Salles (USS)...
Les 2 matchs à Nice et le match à Marseille justifient cette migration toute relative vers le Sud-Est. Il fait beau comme dans le Sud-Ouest, la végétation est différente et l'herbe un peu plus jaune.
Merci Réjane et Guillaume pour leur hospitalité. On va se ressourcer, c'est sûr. Les maîtres des lieux nous ont gâtés. Protéines, sucres lents, un excellent tiramisu, des raisins du Beaujolais en bouteilles et la poire digestive du grand-père. De l'eau avec parcimonie ce soir : il fallait équilibrer avec notre déjeuner carcassonnais somme toute raisonnable et sans cassoulet maison.
#france#rugby#rwc2023#ubbrugby#toulon#rct#allez les bleus#fcg#USS#TPR65#nice#italrugby#uru oficial#rugbyworldcupfrance2023
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Le petit lutin charmant s'en est allé…
La nouvelle est tombée jeudi, sèche, glaciale comme seule peut et sait l'être une “brève” d'Agence : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”. Voilà. Un point, c'est tout : Il est mort. Pourquoi s'étaler, n'est-ce pas ? Ceux qui croient utile de verser une petite larme en parlant d'une chose aussi triste que “nous ne verrons plus jamais ce vrai jeune homme qui semblait éternel, ce gentil clown qui bondissait et rebondissait, si sympathique”… peuvent le faire, bien sûr. Mais ce n'est pas notre boulot : une Agence, c'est là pour énoncer un truc aussi routinier que tous les autres : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”.
C'est étrange, cette manière qu'a le ciel de se vider brutalement : rien n'a changé, mais tout est différent. Ce Jeudi soir, venant juste de l'apprendre, je traversais Paris sur ma moto sous une pluie battante, zigzaguant dans les embouteillages, mouillé comme un explorateur des chutes de Niagara… et je pensais à Marcel Amont, en souriant sous la flotte : c'est lui que le ciel pleurait… NDLR - Comme je vous en ai parlé, un petit ‘’suivi’’, parce que “la vie continue” : j'allais à la Librairie Eyrolles pour la première d'une longue série de “signatures” de “Les Apprentis sorciers”, sujet de mon ‘’édito’’ il y a 48 heures, et qui bat tous les records de vente : jamais, dit Albin Michel, un livre scientifique n'a “fait” une telle explosion, qui met en furie ceux qui tirent à 350 ex … Et les vomissures a-scientifiques du pauvre Alain Fischer (je le cite, car il le mérite : ce soi-disant scientifique, qui se débine de toute confrontation –comme tous ceux qui font passer leur image avant les enjeux de cette bataille planétaire du Bien contre leur Mal– a osé écrire : “Je vous dirai pas qui, mais un ami m'a dit qu’elle…”) donnent envie de l'acheter : les français, maltraités, ulcérés, ont compris que le clan des “périmés” –ce qu'il est– ne peut, à jamais, plus rien leur proposer de bon. En plus, tout ce qu'il en dit prouve qu'il n’a même pas lu ce livre, comme Laurent Alexandre, un autre ’‘has been’’ . Passons : ce n'est pas le sujet.
Le ciel, donc, pleurait. Pour lui ? Sans doute pas, car il n'y croyait pas trop, à tout ça, le ciel, ses occupants, des trucs compliqués : je n'ai pas réussi à le convaincre ! Il était juste un peu ironique, par fidélité filiale : il ne savait pas être méchant. Et à part ce dernier point, peut-être, rien, dans nos deux existences, n'aurait dû nous rapprocher, ni nos carrières, ni notre monde de référence, ni nos histoires telles qu'elles se sont déroulées, la sienne sans moi, bien sûr, la mienne “sans lui, quoi que…”. Son histoire ? Les médias vont vous la raconter, cent fois. Moi, j'ai envie d'effleurer pudiquement celle de notre amitié. Car le destin se moque de la logique des hommes et de leurs mauvaises “bonnes raisons” de ceci ou de ne pas cela…
Arrivé à Paris tout début octobre 1955, sortant de mon “bled” natal, je n'étais même pas un de ces lourds provinciaux dont les impairs faisaient les délices des habitués des “Rallyes”, qui se croyaient délurés et n’étaient qu’un peu plus blasés que les gens normaux : j'étais à l'étage inférieur, celui des Ploucs chroniques… et des noms comme “Marcel Amont” ne risquaient pas d'avoir une place dans mon petit panthéon personnel –alors assez “plein de vide”, je dois l'avouer. Un ami, étudiant à “Sup de Co”, m'a entraîné dans un petit boui-boui pas très loin de la place de la République où sa Promo’ fêtait quelque chose… Et là, j'ai eu un choc, devant un inconnu qui venait d'arriver de son Bordeaux natal, et qui, en plus, ne connaissait pas le seul bordelais que moi je connaissais : mon camarade de promo’ Philippe Joyaux, qui allait bientôt connaître une gloire littéraire méritée puis la faute politique (il fut un chantre ardent du “maoïsme mondain” des années 65-70) sous le nom de Philippe Sollers, avec son superbe roman “Une curieuse solitude” : son univers, à lui aussi, était à des lieues de celui de Marcel Amont… On s’est dit ‘’Au revoir’’....
Puis le temps a passé, trop vite et si lentement comme toujours. Lui m'avait tout naturellement oublié et moi je me souvenais de cette bombe de talent, de finesse et de drôlerie vraie. Je “suivais” sa carrière dans la presse, et je travaillais (guitare, piano et chant, comme toujours) chacun de ses succès… qui font toujours partie de mes “morceaux de bravoure”. Nos chemins se sont brièvement croisés deux ans plus tard, lorsque j'ai eu l'occasion de remplacer, pour quelques mois, “Schubert” (mais oui… Manque de pot, ce n'était pas Franz. Le “mien”, pianiste, n'était pas très connu mais s'était cassé le poignet : à moi de jouer !) comme accompagnateur de Jean-Claude Darnal, un chanteur “rive gauche”, ami de Marcel Amont. Rien à dire sur ces non-retrouvailles : il était devenu “Monsieur” Amont… et moi, j'étais resté un étudiant qui “se faisait” un peu d'argent de poche en pianotant à travers le Quartier Latin… Il y a des âges où 5 ans d'écart pèsent lourd et créent une vraie différence.
Il a fallu un demi-siècle et l'aube des années 2000 pour que, par un hasard trop grand pour être dû… au hasard, ma Maman et Mme Laborde –la Maman de son adorable épouse Marlène– se cassent le même jour le col du fémur (chacune le sien, évidemment !), et aillent se faire rééduquer à la clinique “de la Porte Verte”, à Versailles… où nous nous sommes vus, revus, découverts, appréciés, trouvés… C'est là que j'ai découvert les mille et une richesses de cet archétype de “mec talentueux”. Je me suis mis à faire partie des habitués de sa belle maison de St Cloud, et je suis devenu un des utilisateurs patentés (et très tentés, en même temps) de son piano noir… où nous faisions des “quizz’’ : ’'Et celle-là, tu la connais ?” – un jour, il était arrivé tout content d'avoir “découvert” Connaissez-vous la Touraine, de Francis Linel. Manque de bol, je la connaissais, il en était tout déçu !).
Souvenirs : leur panique à tous deux (Marcel et Marlène) lorsque leur ravissante fille Romélie –comme sa grand-mère !– en vacances à Phuket, a été frappée par le tsunami du 26 décembre 2004, laissant ses pauvres parents sans aucune nouvelle pendant plusieurs jour alors que circulaient des images d'horreurs et de morts. Elle fut sauvée, ainsi que Alain Chabat, mais ils ont mis très longtemps à reprendre leur souffle… Ou encore, leur joie lorsque leur fils Mathias Miramont a “intégré” la même grande Ecole que moi –ce dont lui se foutait totalement, sa vocation était ailleurs.
Et le temps passait, apparemment sans laisser de traces sur le corps sec et souple de cet ancien ‘’prof de gym’’ qui, à 90 ans bien sonnés, refaisait son “gag-exploit” consistant à marcher… se trouver arrêté par une chaise, continuer à marcher en montant d'abord sur l'assise, puis sur le dossier… La chaise se renversait sous son poids… et lui continuait sa ‘’marche’’, sans le moindre changement de rythme ou d'allure… Je n'ai jamais osé essayer… et je mourrai en l'enviant d'avoir su faire ça !
Au revoir, cher “Mexicain basané”. Ou plutôt… A Dieu. Tu es dans ce ciel que tu voyais “Bleu, Blanc, Blond”, et tu sais, maintenant, s'il est occupé ou désertique…
Ton ami Claude, qui te pleure…
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Semaine 5 • "La pire des erreurs est de ne rien tenter" (Simon Lafage)
Encore une citation! Et de nouveau un certain manque d'inspiration. D'ailleurs, je n'ai pas vraiment réussi à trouver qui était Simon Lafage, ma recherche sur le net s'étant arrêtée sur un ostéopathe bordelais faisant de petites vidéos avec des phrases de ce genre. Du coup, j'ai pris mon appareil photo en ville aujourd'hui, en me disant que je trouverais bien quelque-chose. En me rendant au Palais Granvelle, dont j'ai déjà photographié plusieurs fois la superbe cour à colonnes, une fourgonnette garée là gâchait quelque-peu l'architecture du lieu. Alors je me suis dit qu'il convenait d'appliquer le thème de la semaine et de tenter quelque-chose quand même, pour ne pas avoir de regrets :)
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Top 14 : Une journée pleine de surprises et de combats acharnés
Le Top 14 continue de nous offrir son lot de suspens et de rebondissements. Entre matchs pièges, exploits inattendus et confirmations, cette journée a tenu toutes ses promesses. Retour sur les moments forts.
Toulouse s’impose mais laisse filer le bonus
En pleine période de doublons internationaux, le Stade Toulousain affrontait une équipe en pleine confiance. Dans des conditions compliquées, les Rouge et Noir ont finalement décroché une victoire précieuse (27-17) mais ont dû se contenter de quatre points, laissant échapper le bonus offensif en fin de match. Un avertissement sans frais pour les hommes d’Ugo Mola.
Le déclic du Castres Olympique
Depuis l’arrivée de Xavier Sadourny à la tête de l’équipe, le CO semble métamorphosé. Cette nouvelle dynamique s'est confirmée avec un début de match tonitruant contre le Racing 92, où les Tarnais ont imposé leur rythme d’entrée. Le Racing, bien trop décevant, n’a jamais su réagir, offrant au CO sa première victoire à l’extérieur (20-27) de la saison. Ce succès pourrait bien être un tournant pour les Castrais, qui se relancent pour le top6.
L’exploit héroïque de Vannes
À 14 contre 15, Vannes a réalisé une performance exceptionnelle en s’imposant (33-28) face au Stade Français. Avec courage et détermination, les Bretons ont pris les devants au score et ont su résister aux assauts parisiens. De son côté, le Stade Français inquiète de plus en plus par son manque de constance et sa difficulté à imposer son jeu et reste au fin fond du classement.
Succès précieux pour Pau et l’USAP
Dans deux matchs cruciaux pour le maintien, la Section Paloise a décroché une victoire importante (20-14) à domicile face à Clermont, tandis que l’USAP a confirmé sa montée en puissance avec un succès (16-11) face à Bayonne. Ces résultats permettent aux deux clubs de se donner un peu d’air dans la lutte pour le bas de tableau.
Exploit du LOU à Bordeaux
Le match entre l’Union Bordeaux-Bègles et le LOU a tenu toutes ses promesses. Après une entame de feu des Lyonnais, les Bordelais, portés par leur série de neuf victoires consécutives, semblaient capables de renverser la rencontre. Mais une pénalité de Léo Berdeu, dans les dernières minutes, a permis au LOU de s’imposer à nouveau face à l’UBB (20-22), comme lors du match aller. Une performance de choix qui relance les Lyonnais dans la course aux premières places ?
La Rochelle s’incline face à Toulon après un match renversant
Au Stade Mayol, le duel entre Toulon et La Rochelle a tenu le public en haleine. Les Rochelais, portés par un Antoine Hastoy inspiré, avaient pourtant pris les devants grâce à un magnifique essai. Mais Toulon, emmené par un Baptiste Serin de gala, a renversé la vapeur en fin de match pour s’imposer avec le bonus offensif (46-26). Un succès qui confirme les ambitions varoises cette saison.
Le résumé des temps forts de la journée
Toulouse assure l’essentiel face à une équipe accrocheuse mais perd le bonus.
Castres Olympique décroche son premier succès à l’extérieur chez un Racing 92 en crise.
Vannes, héroïque à 14, renverse un Stade Français inquiétant.
Pau et l’USAP prennent des points cruciaux dans la lutte pour le maintien.
Le LOU met fin à la série de victoires de l’UBB grâce à une pénalité de Léo Berdeu.
Toulon, impressionnant en fin de match, s’impose avec le bonus contre La Rochelle.
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Tom, 1.
« Qui sait quand l’amitié commence? » Contrairement à ce qu’affirme Blanchot, La Mythe avait souvent vécu des coups de foudre amicaux. Ou pour être plus précis, l’amitié s’imposait à lui comme une évidence en un instant. Une attitude, une parole, une physionomie, une situation… lui assurait en une seconde du commencement d’une possible relation. Bien sûr qu’il n’y a rien ici de systématique, les relations humaines sont variées et complexes.
Il avait rencontré Tom à Bordeaux, aux Capucins quand c’était encore un quartier de nuit dont les pavés sentaient la bière éventée et le vomi froid de 22H à 5H. Une population noctambule mélangée d’étudiants, de ramasses, de vieux rockers, de racailles, de redskins… trainait dans les bars associatifs et les brasseries jouxtant les halles du marché où les jusqu’au-boutistes se finissaient aux huitres et au vin blanc au petit matin.
Un soir classique d’errance alcoolisée, il avait croisé Justine, une de ses amies, qui sortait avec ce Tom et qui le lui avait présenté. En un instant, et peut être avec un regard complice, ils se plurent. Tom était un énergumène tatoué du milieu punk-oï bordelais avec une gouaille infernale et des paquets de piles dans le cul. Les première phrases qu’il lui adressa, après les formules de présentations de rigeur, furent: « T’es un bon pote de Justine? Tu l’as baisée? » Et puis « Je m’en fous, moi je l’aime trop, grâce à elle je bois plus et je suis moins violent ». Chacun ayant ses propres objectifs de soirée, il se séparèrent. La Mythe recroisa Tom, deux heures plus tard, hurlant, bourré comme un âne, en train de foutre des tartes à un mec qui le dépassait de 20 bons centimètres pour un contentieux qui s’était perdu dans les pintes de bières et le mauvais calva.
En bon étudiant en lettres , La Mythe se sentit d’intervenir revêtu de son manteau de pacificateur brodé des fils qu’entremêlent l’alcool et l’inconscience. Tom éclata de rire et lui expliqua que c’était une embrouille de potes. Manifestement, l’amour ne sauvait ni de l’alcool, ni de la violence, mais ce moment scella leur amitié. Pendant 5 ans à Bordeaux, et encore après, lorsque La Mythe déménagea à paris, ils furent comme cul et chemise, même quand Tom et Justine se séparèrent. Ils passaient leurs week-end ensemble et plus, à picoler, disserter de tout et de rien, à rire beaucoup. Il n’y avait pas eu de fascination, ils étaient différents mais ils s’étaient reconnus. Durant ces premières années, l’intensité de Tom fonctionna comme un charisme qui charmait le plus souvent les personnes qu’ils rencontraient. Parfois, effectivement, comme la demie mesure lui était inconnue, La Mythe se retrouva dans des situations délicates où il fallait calmer tout le monde. Parfois effectivement, tout allait trop loin et il fallait se battre pour prêter main forte, mais les raisons lui avaient toujours parues justifiées: un connard de plus, un discours raciste, une provocation gratuite de trop… Et puis c’était son pote. Et l’amitié va de pair avec des valeurs absolues qui aveuglent parfois et qui peuvent faire dire à certains: « oui, c’est un connard, mais c’est mon pote! ».
Lorsque La mythe s’installa à Paris, Tom vint souvent le visiter, et lui descendait souvent le voir à Bordeaux.
Pour une sombre histoire d’ancienne rancune, un jour qu’il buvait à la terrasse d’un pub, Tom se fit tirer dessus à la chevrotine depuis une voiture occupées par d’anciennes connaissances. Par chance, il s’en tira sans mal mais l’affaire allait évidemment être jugée.
La mythe alla passer un week end chez Tom, une semaine avant que ne se tienne le procès. Tom vint le chercher fièrement à la gare vers 14h, au volant d’un hot rod rutilant, machine de toute beauté qui complétait son identité rock qui était pour lui, bien plus qu’une panoplie, un art de vivre. Il firent la tournée des bars pour fêter leurs retrouvailles et La Mythe sentit vite que l’après-midi allait déraper. Tout dans les yeux et l’intonation de Tom traduisait un mélange d’excitation et de frustration qui, mélangée à l’alcool, n’annonçait rien de bon.
Avant de prendre le chemin du retour vers Langoiran, village proche de Bordeaux où Tom avait acheté une maison, il insista pour aller boire un dernier verre au Rat Mort, bar des quais dans lequel trainaient souvent ses agresseurs. Lorsque La Mythe avança que c’était tout sauf une bonne idée, Il répliqua qu’il voulait leur mettre la pression avant le procès et que s’il pouvait régler ça lui-même ça ferait économiser des tunes à l’Etat. Première prise d’otage du week-end: La Mythe ne put rien lui faire entendre. Par bonheur, les antagonistes n’étaient pas là, et ils burent une dernière pinte avant de prendre la voiture.
Sur l’étroite et sinueuse du retour, Tom qui roulait à tombeau ouvert prit tous les virages bien trop à gauche, sans visibilité. La Mythe lui dit que s’il n’avait pas peur de mourir, il préférait que ce ne soit pas en tuant les occupants de la voiture d’en face. Tom éclata de rire et lui répondit: « Nous on va pas mourir! Ma caisse c’est que de la tôle. Si y’a une Clio en plastique en face, à la vitesse où on va, on la coupe en deux! ». En un instant et quelques mots l’amitié s’amenuisa.
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Prévisions météo du lundi 20 janvier 2025 à Bordeaux
https://tinyurl.com/24fnbhmx Artia13 - Innovation et Créativité À Bordeaux, on prévoit des éclaircies pour cette journée. Les valeurs s’échelonneront de 2 à 10°C. Les Bordelais vont avoir froid le matin : les ...
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Agneaux
12 côtelettes d'agneau halal pour une personne, qui crache dessus pour dégoûter les Musulmans de l'équipe, qui veulent le frapper. L'ère Raimondo Menech, entraîneur catastrophique en bleu qui pourtant réussit l'exploit d'amener la France en finale du mondial 2 006 en Allemagne, à deux doigts d'être gagné.
C'est parfois étrange le sport. Je peux vous garantir que Domenech, bon joueur auparavant, et malgré certains résultats lyonnais en tant qu'entraîneur, est un entraîneur médiocre sinon pire : relations humaines, sélections au gré de ses humeurs et ses vengeances (Pirès car plaisait trop à Estelle Denis), casseur de jeu, son époque en tant que chef bleu est celle de la discorde, des racailles, et de Ribéry, aussi charismatique que...je sais pas quoi. Ajoutez à cela le lénifiant Zidane, qui n'avait absolument pas (en tant que joueur, ensuite c'est autre chose) le niveau qu'on lui prête sauf éclairs dont bordelais et résultats madrilènes impressionnants.
Il suffit d'avoir joué au foot pour le comprendre, Zidane c'est l'anti Barça, l'anti-Arsenal, l'anti-Nantes des grandes époques, le ralentisseur de jeu type, contrairement à Pirès, qui a tout compris au foot et donc au...collectif. Doré à Souhait s'inscrivait entre les deux. Je détaillerai plus tard, mais "Raymond la Science" ne pouvait pas le blairer, comme si les accélérateurs de jeu dérangeaient son passé de défenseur.
Basile Pesso, Land of Somewhere, 27 novembre 2 024 (Fb)
P.S : je me marre, il n'a jamais été surnommé comme ça, contrairement à un membre de la Bande à Bonnot (Raymond Callemin) et à Raymond Ghoetals qui offrit du vrai, grand foot avec l'OM de Papin, Boli, Pelé et Di Meco.
P.S 2 : Domenech c'est "les résultats" (ou pas...) avant tout. Tu prends pas de risques, t'es pas là pour le public, et si l'Histoire te retient c'est parce que t'as gagné, pas parce que t'as fait rêver et créé des millions de vocations.
L'école Milan AC ou Squadra Azzura, chiant comme la pluie, tendance qui contredit d'ailleurs totalement l’exubérance italienne, l'école Wilander, Borg, Nadal. C'est un choix...
Snow Patrol, Spitting Games
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Chez les Surligneurs : la France peut-elle bloquer le Traité UE-Mercosur ?
https://justifiable.fr/?p=668 https://justifiable.fr/?p=668 #bloquer #Chez #France #les #peutelle #Surligneurs #Traité #UEMercosur La France ne peut pas bloquer l’adoption du traité UE-Mercosur, les Surligneurs vous expliquent pourquoi. Cette semaine, les spécialistes du legal checking se penchent aussi sur l’interdiction des banderoles politiques sur les mairies et dans les stades. Pourquoi la France ne peut pas bloquer, en l’état, l’adoption du traité UE-Mercosur ? L’accord entre l’UE et le Mercosur provoque une levée de boucliers en France, notamment chez les agriculteurs, qui redoutent ses conséquences économiques et environnementales. Ce sont plus de 600 parlementaires et Emmanuel Macron lui-même qui manifestent leur opposition à l’accord en l’état, vu les risques, notamment d’exacerbation de la colère des agriculteurs. Alors que la Commission européenne continue ses négociations, la France, isolée sur ce sujet au sein de l’UE, peine à rallier d’autres États à sa cause. En matière commerciale, l’Union européenne détient une compétence exclusive, empêchant les États membres d’agir indépendamment. L’article 3 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne lui donne compétence exclusive pour fixer les droits de douane et l’article 4 lui donne une compétence en matière de marché intérieur. Cette exclusivité a pour objectif d’assurer une politique commerciale extérieure commune européenne et éviter que chaque État vienne tenter de capter des marchés au détriment des autres. Malgré cette opposition donc, Bruxelles maintient le cap, soutenue par une majorité d’États et un Parlement européen largement favorable au libre-échange. Il reste une possibilité, mais qui ne peut être confirmée à ce jour. L’accord prévoyait, dans la version dévoilée en 2019 par la Commission européenne, des dispositions sur la mise en place d’un dialogue politique entre l’UE et le Mercosur, par exemple pour faire évoluer les normes environnementales. Mais cette partie de l’accord ne relève pas de la compétence exclusive de l’UE et doit donc être approuvée par chacun des États membres, en général les parlements nationaux. Comme pour le CETA, accord entre l’UE et le Canada, la partie commerciale est entrée en vigueur temporairement en 2017, le temps que les États membres ratifient chacun la partie politique. Or, la France n’a toujours pas autorisé la ratification. Mais à ce jour, les négociations entre la Commission européenne et le Mercosur étant secrètes, on ne sait pas s’il a été décidé, par prudence, de séparer la partie commerciale de la partie politique. En savoir plus ? Cliquer ici. Le maire de Bordeaux a-t-il le droit d’accrocher des banderoles critiquant le projet de loi de finance sur la mairie ? Le 4 novembre, le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, a déployé deux banderoles sur l’hôtel de ville pour dénoncer les coupes budgétaires prévues par la loi de finances 2025. Ces affiches portent un message accusant l’État d’amputer le budget municipal de 16,5 millions d’euros et interrogent sur les sacrifices à venir, comme priver les élèves de cantine ou supprimer la police municipale. Le préfet de Gironde a rappelé le principe de neutralité des services publics, interdisant tout affichage politique sur un bâtiment public. Refusant de retirer ces banderoles, Pierre Hurmic invoque la liberté d’expression des élus locaux et son devoir d’informer les Bordelais des menaces budgétaires. Cependant, le principe de neutralité interdit toute manifestation politique sur les édifices publics. Le bâtiment de l’hôtel de ville étant affecté au service public de la Mairie, la loi impose qu’il ne puisse servir un autre but que celui de son affectation. Il ne peut donc servir de support physique à une quelconque propagande politique. Le préfet a annoncé qu’en cas de maintien des banderoles, il saisirait le juge administratif, qui pourrait ordonner leur retrait. Des cas similaires, comme le drapeau breton sur la mairie de Nantes ou une crèche installée à Hénin-Beaumont, ont conduit à des condamnations par le juge administratif. Malgré cela, des affiches analogues apparaissent sur d’autres mairies en France, laissant présager des conclusions similaires. En savoir plus ? Cliquer ici. Bruno Retailleau a-t-il raison d’affirmer qu’une banderole “free palestine” est interdite pendant un match de ligue des champions ? Le 6 novembre 2024, lors d’un match de Ligue des champions de l’UEFA, le Collectif ultras Paris a déployé un tifo au Parc des Princes avec le message « Free Palestine » accompagné d’une banderole « La guerre sur le terrain mais la paix dans le monde ». Cette action a immédiatement provoqué la réaction de Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, qui a condamné le message de soutien et a rappelé que de tels messages sont interdits par les règlements de l’UEFA. Il a exigé des comptes au club. En vertu du règlement de l’UEFA, toute forme de message politique, idéologique ou religieux est proscrite dans les stades. Cependant, l’UEFA a annoncé qu’aucune procédure disciplinaire ne serait ouverte contre le PSG, précisant que la banderole déployée ne pouvait être considérée comme provocatrice ou insultante. En effet, l’article 16 du règlement disciplinaire de l’UEFA souligne que les cas disciplinaires ne peuvent être ouverts que sur la base de “message provocateur inadapté à un événement sportif, notamment de tout message provocateur de nature politique, idéologique, religieuse ou insultante”. L’instance prend en compte les circonstances de chaque cas, jugeant les messages au cas par cas. Par le passé, l’UEFA avait ouvert des procédures contre le PSG pour des messages similaires, mais ces démarches n’avaient pas donné lieu à des sanctions. Le règlement de l’UEFA interdit les messages politiques dans les stades. Mais ce même règlement ne prévoit l’ouverture d’une procédure disciplinaire (qui peut entraîner une sanction) qu’en raison d’un message provocant ou offensant. En revanche, un règlement plus strict de la Ligue française (LFP) interdit explicitement les messages politiques dans les stades, et une telle banderole aurait pu entraîner des sanctions comme l’interdiction d’accès au stade ou des amendes pour le PSG. Ce cas met en lumière les différences d’application des règlements entre l’UEFA et la LFP concernant l’affichage de messages politiques dans les stades. En savoir plus ? Cliquer ici.
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